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Riesling, Cuvée Frédéric, Émile Trimbach 2006

On aime ou on n’aime pas!
Le vin dégage des arômes très pétrolés. Quelqu’un a même dit que le vin sent le rideau de douche!
Ça surprend. Soit qu’on s’habitue, qu’on finit par aimer ou soit que ça nous répugne.
L’odeur de pétrole dans le riesling proviendrait soit du raisin lui-même et du sol, soit de levures brettanomyces, soit de raisins cueillis avant maturité. (Voir Le pétrole dans le riesling)
En bouche, le vin est d’un beau fruité avec une très légère touche sucrée et soutenu par une acidité qui donne de la vie à ce vin.
Un vin étonnant qui fait jaser.
Alcool 13,05 %; sucre résiduel 5,2 g/l; acidité tartrique 7,7 g/l.
Si on le met en cave, il se pourrait que le pétrole s’accentue et que la bouche devienne encore plus belle.
Nous l’avons bu avec des fromages: le Figaro, le Guillaume Tell et la Tomme de Grosse-Île.
En ligne et dans 47 succursales.

Couleur : Blanc
Région : Alsace