Personnaliser les préférences en matière de consentement

Nous utilisons des cookies pour vous aider à naviguer efficacement et à exécuter certaines fonctionnalités. Vous trouverez des informations détaillées sur tous les cookies sous chaque catégorie de consentement ci-dessous.

Les cookies qui sont catégorisés comme « nécessaires » sont stockés sur votre navigateur car ils sont essentiels pour permettre les fonctionnalités de base du site. ... 

Toujours actif

Les cookies nécessaires sont cruciaux pour les fonctions de base du site Web et celui-ci ne fonctionnera pas comme prévu sans eux. Ces cookies ne stockent aucune donnée personnellement identifiable.

Aucun cookie à afficher.

Les cookies fonctionnels permettent d'exécuter certaines fonctionnalités telles que le partage du contenu du site Web sur des plateformes de médias sociaux, la collecte de commentaires et d'autres fonctionnalités tierces.

Aucun cookie à afficher.

Les cookies analytiques sont utilisés pour comprendre comment les visiteurs interagissent avec le site Web. Ces cookies aident à fournir des informations sur le nombre de visiteurs, le taux de rebond, la source de trafic, etc.

Les cookies de performance sont utilisés pour comprendre et analyser les indices de performance clés du site Web, ce qui permet de fournir une meilleure expérience utilisateur aux visiteurs.

Aucun cookie à afficher.

Les cookies de publicité sont utilisés pour fournir aux visiteurs des publicités personnalisées basées sur les pages visitées précédemment et analyser l'efficacité de la campagne publicitaire.

Aucun cookie à afficher.

Aller au contenu

Les vignobles les plus herbicides de France

Herbicides dans les régions de France

Le désherbage chimique est encore très répandu dans les vignobles de France.

Les zones les plus chimiques sont la Champagne, le Beaujolais, la Provence et la Loire (rouge, jaune et vert).

Bordeaux, l’Alsace et le Rhône sont les vignobles ou les superficies proportionnelles sans désherbants chimiques sont les plus grandes (vert foncée).

«L’enquête a mis en évidence une disparité régionale importante» dans les surfaces concernées par le désherbage chimique.

Le facteur économique serait le frein principal au développement des alternatives sans herbicides chimiques. «Les techniques alternatives au désherbage chimique nécessitent des temps de travaux supplémentaires». Il y a aussi crainte d’une perte de rendement due à la concurrence entre l’herbe et la vigne.

Le travail du sol sans désherbant chimiques coûterait 440 €/ha. «Dans un contexte de crise viticole qui perdure, les surcoûts et la baisse de productivité (temps de travail accru, rendement diminué) sont les principaux freins au développement des alternatives au désherbage chimique.»

Pour en savoir plus, lire le document Réduire l’impact environnemental des herbicides en viticulture de l’Institut français de la vigne et du vin.