Profitons de cette deuxième journée de grève à la SAQ pour essayer de comprendre un peu mieux le fonctionnement de ce monopole des alcools.
Ces chroniqueurs sont surpris de la mauvaise gestion des employés de la SAQ!
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SAQ et lois sur les alcools au Québec: le statu quo ou quand les lobbys internes du gouvernement freinent l’innovation
L’innovation ce n’est pas fort à la SAQ.
François Vincent et Frédéric Laurin, Journal de Montréal.
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Deux jours de grève à la SAQ : les syndiqués dénoncent des conditions précaires.
Le reportage de @jphug10 au #TJ18h pic.twitter.com/MO1d6yGEBF
— Patrice Roy (@PatriceRoyTJ) April 24, 2024
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Un gin de trop Chronique Pierre Harvey, La Tribune
«Pourquoi ne pas permettre aux distilleries québécoises qu’elles soient productrices de gins, de vodka, de whisky ou autre alcool fort, exclues des tablettes de la SAQ, de vendre tout simplement leurs produits à travers les réseaux des détaillants en alimentation du Québec, des dépanneurs aux grandes surfaces, comme on le fait déjà avec certains vins ou la bière?»
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La fin du « bar ouvert »
«Cette décision, qui pourrait entraîner la mort de certaines entreprises, a tout de même été prise de concert avec l’Union québécoise des microdistilleries (UQMD). L’association juge nécessaire que les règles du jeu changent.»
Nathaëlle Morissette, La Presse
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Les lois de la SAQ sont bouchonnées, analyse une spécialiste.
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SAQ : «On est vraiment géré à la soviétique!» – Éric Duhaime, chef du Parti conservateur du Québec… via
@YouTube
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Monopole de la SAQ: les capitalistes ne doivent pas contrôler, affirme Amir Khadir.