Ce vin dégage des arômes de syrah bien marqués. Au nez, il rappelle les vins de la Côte-Rôtie. C’est riche, l’alcool est bien présent assurant une certaine douceur. C’est rond et facile à boire. Il y a 5 % de viognier dans la bouteille. Le vin ne connaît pas le bois. Il est vinifié dans des cuves de ciment et d’acier inoxydable avec micro oxygénation. Original, superbe et bien plaisant. Alc. 13,5 %.
Rond, riche, bien fait et facile à boire.
Le producteur suggère de le prendre avec les grillades, roast-beef et agneaux.
Sucre : 6,6 g/l. Acide : 5,75 g/l. Alc : 13,5 %.
De forts arômes de goudron chaud. Très boisé. Des notes de syrah, d’épices. Corpulent. Le 1998 est 74 $ à la SAQ. Le 2001 est 90 $ à la LCBO.
Un beau shiraz fruité, savoureux et bien équilibré. De la belle matière, pas pâteux comme le sont trop souvent les shiraz australiens.
Un shiraz hyper boisé. Des saveurs de bois vernis, s’essence de bois. Beaucoup d’extraction de fruit en bouche. Déséquilibré et lourd.
Un vin rouge de la région de Hawles Bay en Nouvelle-Zélande aux arômes de noix et d’épices. Il a de plus une petite note de viande. C’est très fruité en bouche, ce qui fait paraître les tanins assez légers. Gras et chaleureux. Cépages: merlot, cabernet sauvignon et malbec. Un bouchon qui visse [très répandu en Nouvelle-Zélande] permet une bonne conservation des saveurs. Fruité.
De belle saveurs de crème, de menthe, de café et de graphite dans ce vin australien. Il est sec et non confituré. Un vin ample, savoureux. Bien boisé, de belles notes de torréfaction. Du vrai bonbon et une certaine classe. À servir avec des plats de viande assez relevés. Alc.14,5 %. Acidité : 6,6 g/l.
D’abondants arômes de menthe et de bois. Crémeux en bouche. Rond. Du sirop. Très boisé. Long. Alc. 15 %, Le 2002 est 99,95 $ en Ontario.
Ce vin de la région de Marlborough s’ouvre sur des arômes typiques d’herbes, de poivrons cuits à l’eau et de pamplemousse que nous détectons souvent dans les sauvignons de Nouvelle- Zélande. C’est vif, séveux et net. Il laisse une belle saveur de pêche en finale. Le bouchon qui visse qui coiffe maintenant presque toutes les bouteilles de ce pays garanti la fraîcheur. Délicieux avec la truite saumonée. Il y en a 284 bouteilles à Saint-Jérome. Alc. 13,5 % .
Un grenache australien aux belles saveurs de bonbons aux fruits. Gras, riche et très boisé. Le vin est très boisé, un boisé brûlé, mais il y a tellement de beaux fruits que ça passe très bien, ça s’équilibre.
Du bonbon!
Un bouchon qui visse qui révèle un nez gras sur des notes de petit bois. Ce gras annoncé au nez revient en bouche avec une nuance de caramel et un petite sensation piquante en finale. Un beau vin de Nouvelle-Zélande.
Ne vous attendez pas de goûter à un cabernet sauvignon de type bordeaux, c’est totalement différent. Celui-ci a un nez d’épices, de petits fruits et de fruits secs. Les tanins sont fins avec un grain très agréable. Une sensation granuleuse très agréable en bouche. Chaud en fin de bouche. Une finale de bois foncé, de bois chauffé. Une certaine chaleur en finale. Les arômes d’épices persistent très longtemps. Ce vin contient un peu de malbec, de merlot et de shyraz. Alc. 14,5 %. Sera disponible en Ontario le 14 octobre à 34,95 $.
Des arômes expansifs de fruits et de café. Un vin rond, concentré et très fruité. Il en met plein la bouche, mais n’est pas gommant, ni sucré comme le sont très souvent les shyraz australiens. Alc. 14,5 %. Sera disponible en Ontario le 14 octobre à 36,95 $.
Un pinot très fruité et surtout très épicé. Des notes de petits fruits. L’acidité est très marquée. Des saveurs bonbons.
Un mousseux rosé orangé très odorant. Un petit pétillant bien agréable. De belles saveurs briochées qui font penser aux champagnes. En bouche de belles saveurs, agréables. Savoureux, il se boit à grandes gorgées. LCBO 967398
Des arômes de melon et d’herbe. Une acidité très vive. Vert et un peu dur. Intéressant, mais il faut aimer le genre.
Un cabernet sauvignon australien opaque aux arômes de bois de santal très marqués. Une attaque de fruit un peu sucré, les tanins agréables sont poudreux et granuleux. Un vin moderne. La finale est longue et surtout sur le bois. Quelques-uns de mes collègues l'ont vraiment détesté à cause de ces notes boisées évidentes et ses saveurs un peu confiturées. C'est un genre. Comme l’a fait remarquer une collègue, ce vin entraîne une réaction amour-haine. J'aime bien.
Nous allons voir de plus en plus de vins de la Nouvelle Zélande au Canada. La viticulture y est très jeune, mais on y faut déjà des vins de très bonne qualité. De plus, les gens de ce pays, contrairement à l’Australie toute proche, on un goût plus «européen» qu’«américain». C’est-à-dire que leurs vins sont moins confiturés, moins boisés, moins lourds et plus en finesse. Celui-ci en est un bel exemple. Il est rond, précis, plaisant, tout en finesse et bien équilibré. Cépages : 64 % merlot, 18 % malbec, 11 % cabernet sauvignon, 7 % cabernet franc. LCBO 692343
Il y a beaucoup de corps dans ce viognier néo-zélandais bien rafraîchissant. LCBO 694828
Un vin rouge foncé aux odeurs australiennes de médicaments et de bois chauffés. Les mêmes saveurs reviennent en bouche sur une belle rondeur. De très beaux tanins. Une longue finale boisée agréable. Fort en alcool [15 %], cependant il a assez de fruits et de tanins pour le soutenir. Différent et très intéressant.
Des notes végétales dans ce vin australien, mais quand même un beau vin plaisant au fruité et aux tanins agréables. Assez bien équilibré.
Un vin australien rouge violacé aux arômes de menthe, de chocolat et de bois chauffé. Une attaque ronde, les mêmes saveurs reviennent en bouche avec un peu de sucre en plus. Une finale boisée. Facile à boire. Un vin plaisant au premier abord.
Cet exubérant vin australien dégage des odeurs de crème de bleuet et de bois brûlé. En bouche, il est crémeux, rond, les tanins sont souples et la finale est boisée brûlé.
Il laisse d’ailleurs un goût lassant de bois brûlé longtemps après l'avoir avalé.
Il n’est pas mauvais, il a une belle structure, mais un goût boisé dominant.
Il faut aimer le genre. Durif est synonyme de petite syrah.
Je me demandais avoir quoi servir cela. Hier soir, j’ai fait des crevettes avec des légumes, fèves germées, sauce soya... Le petit riesling qui devait accompagner, a été complètement écrasé. Alors, j’ai fini cette bouteille de shiraz, et Ô surprise, il accompagna très bien les crevettes!
Un très bon shiraz australien aux saveurs de crème, à la texture ronde. Un vin plaisant facile à boire et bien agréable. Le taux d’alcool élevé de 14,5 % n’y parait pas. Tout est harmonieux.
Ce n’est pas un shiraz typique d’Australie. Il n’est pas confituré comme la plupart de ceux qu’on retrouve sur les tablettes de la SAQ et de la LCBO. C’est un vin assez savoureux marqué par les petits fruits, l’acidité est bien notable et le taux d’alcool aussi. Ses saveurs persistent un certain temps. À servir frais. ƒ
Ottawa le 25 mai, Calgary le 29 mai et Vancouver le 31 mai.
Les vins de la Nouvelle Zélande font une belle percée sur les marchés internationaux depuis deux ans. La production s’est bien améliorée et il en sort de plus en plus des vins de qualité. On connaît bien leurs sauvignons, surtout en dehors du Québec, où ils sont bien appréciés.
Cependant, depuis quelque temps ce sont surtout leurs pinots noirs qui impressionnent par leur finesse et leurs grandes saveurs. Ce sont les meilleurs candidats actuellement pour concurrencer les vins de Bourgogne.
Il n’y aura pas de salon des vins de la Nouvelle Zélande à Montréal cette année «afin de ne pas entrer en conflit avec le Salon des Vins», dit-on. Il ne tiendra plutôt à Ottawa le 25 mai, au Centre de conférences du gouvernement fédéral, 2 rue Rideau [En face du Château Laurier]. Il sera aussi à Toronto [23 mai], Calgary [29 mai] et Vancouver [31 mai].
Un chardonnay très floral, à l’acidité vive et mordante et aux saveurs persistantes.
Un beau pinot aux accents de fruits chauffés et de caramel. Une certaine sucrosité en attaque. Les saveurs de fruits chauffés, presque brûlées, reviennent en bouche. Une bonne présence d’alcool [14 %]. Un beau jus de fruits, un vin costaud et épicé. Une finale brûlé. C’est un pinot différent et plaisant.
Oui, pas 300 $, mais bien 301! Mais quel beau vin. Un des plus grands vins du Monde. Un vin costaud et opulent. Rien n’accroche, il est massif, mais tout est dans de bonnes proportions. Oui, c’est un vin australien, oui c’est fait avec du shyraz, mais ça n’a rien à voir avec les autres shyraz australiens qui sont souvent trop confiturés. Nous avons ici un vin de grande classe, généreux et somptueux.