Le journal du CNRS produit une série d’articles très intéressants sur le vin, en particulier celui intitulé Les caves se rebiffent.
On y lit que la viticulture française affronte de graves problèmes.
Voici en vrac quelques extraits :
- France : 450 AOC et 140 vins de pays;
- Plusieurs dizaines de milliers d’étiquettes qui déboussolent la plupart des consommateurs;
- On boit moins mais mieux en France
- AOC qui ont du plomb dans l’aile. Ainsi, l’appellation ne garantit pas la qualité d’un vin, qui peut passer avec succès devant la commission d’agrément, mais être mauvais ensuite;
- Appauvrissement des sols, soumis des années durant à un épandage massif d’agents chimiques
- Le marché américain: les Français, naguère leaders, ne règnent plus que sur 14 % du gâteau, contre 26 % aux Australiens;
- Maintenant 45 pays produisent du vin;
- Le Nouveau Monde représente 16 % des surfaces en vignes, contre 8 % en 1990;
- Les avantages du Nouveau Monde : des conditions climatiques propices, charges sociales légères, réglementations moins sévères, produits charmeurs, étiquetage clair et attrayant.
Des pistes de solutions…
pas évidentes… à lire sur le site du CNRS