La SAQ annonce un nouveau mode de cueillette de produit en succursale.
Elle dit que ce sera plus rapide et que dans certains cas, il ne sera pas nécessaire d’entrer dans la succursale.
La SAQ ne donne pas beaucoup de détails, mais écrit dans une publication Facebook
- «Commandez en ligne dans SAQ.COM
- et choisissez l’option de livraison en succursale (gratuite à l’achat de 75$ et +).
- Quand vous recevrez le courriel de confirmation qui avise que la commande est prête à récupérer, rendez-vous à la succursale que vous avez choisie.
- Composez le numéro de téléphone inscrit dans le courriel de confirmation (celui de la succursale).
- Un employé vous donnera alors les directives pour récupérer votre colis.»
La SAQ offre ainsi un genre de service à l’auto comme le font plusieurs commerces de détail depuis le début de la pandémie. Comme on le sait la SAQ est toujours beaucoup plus lente à s’adapter que les autres commerces de vente au détail.
À la SAQ, on nous dit ne pas être lent, mais s’être adapté progressivement au nouveau contexte de la pandémie et améliorer constamment le service à la clientèle.
Il n’y aura pas de service à l’auto, nous dit Linda Bouchard responsable des relations de presse. Les clients devront peut-être tout de même aller récupérer leurs colis à l’intérieur dans certaines succursales. À d’autres succursales, les colis pourront être récupérés à la porte du garage. Le service sera différent selon les succursales, le personnel et la configuration des lieux, précise Mme Bouchard.
Il reste toujours le problème de la piètre qualité du choix en ligne. C’est seulement 10 % de l’offre en succursale et ce sont surtout des vins d’entrée de gamme. La SAQ dit que ce sont les produits les plus populaires qui sont en ligne et que ceci répond à la demande générale.
Il serait encore plus intéressant de plutôt pouvoir choisir parmi l’inventaire de notre succursale préférée. Il y en effet un bien meilleur choix dans les succursales sélection qu’en ligne.
À cela Mme Bouchard répond que la SAQ n’a pas le personnel suffisant pour offrir ce service et qu’il n’est pas envisagé de le faire.
Texte modifié à 17 h 52