Personnaliser les préférences en matière de consentement

Nous utilisons des cookies pour vous aider à naviguer efficacement et à exécuter certaines fonctionnalités. Vous trouverez des informations détaillées sur tous les cookies sous chaque catégorie de consentement ci-dessous.

Les cookies qui sont catégorisés comme « nécessaires » sont stockés sur votre navigateur car ils sont essentiels pour permettre les fonctionnalités de base du site. ... 

Toujours actif

Les cookies nécessaires sont cruciaux pour les fonctions de base du site Web et celui-ci ne fonctionnera pas comme prévu sans eux. Ces cookies ne stockent aucune donnée personnellement identifiable.

Aucun cookie à afficher.

Les cookies fonctionnels permettent d'exécuter certaines fonctionnalités telles que le partage du contenu du site Web sur des plateformes de médias sociaux, la collecte de commentaires et d'autres fonctionnalités tierces.

Aucun cookie à afficher.

Les cookies analytiques sont utilisés pour comprendre comment les visiteurs interagissent avec le site Web. Ces cookies aident à fournir des informations sur le nombre de visiteurs, le taux de rebond, la source de trafic, etc.

Les cookies de performance sont utilisés pour comprendre et analyser les indices de performance clés du site Web, ce qui permet de fournir une meilleure expérience utilisateur aux visiteurs.

Aucun cookie à afficher.

Les cookies de publicité sont utilisés pour fournir aux visiteurs des publicités personnalisées basées sur les pages visitées précédemment et analyser l'efficacité de la campagne publicitaire.

Aucun cookie à afficher.

Aller au contenu

Il est inutile de faire vieillir les vins plus de dix ans

Autrefois, nous devions faire vieillir certains vins plus de dix ans. C’était le cas de certains barolos, bordeaux, barbarescos, chåteauneufs, brunellos, mais plus aujourd’hui.

Les vins sont faits différemment de nos jours et il n’ont plus besoin de longues périodes de repos pour se développer.

C’est du moins ce que constate Matt Kramer, chroniqueur au Wine Spectator. Il observe depuis quelque temps que la plupart des grands vins sont magnifiques au bout de dix ans, et qu’il est donc inutile de prolonger cette période.  Il précise qu’il ne dit pas que ces vins vont se détériorer, certains vont survivre 20 ou 30 ans, mais ils ne s’amélioreront pas plus si on prolonge leur repos en cave au-delà de dix ans.

M. Kramer qui déguste beaucoup de vieux vins affirme que les procédés de fabrication d’aujourd’hui donnent des vins qui murissent plus rapidement.

Avant l’aire Peynaud, les vins avaient des tanins trop verts.

Parmi les nouveaux procédés, il mentionne, la sélection de nouveaux clones, de porte-greffe,  la vendange en vert et autres modes de conduite de la vigne, l’usage des tables de tri, les vinifications modernes…

Alors, pourquoi attendre si nous n’en avons pas besoin?