Personnaliser les préférences en matière de consentement

Nous utilisons des cookies pour vous aider à naviguer efficacement et à exécuter certaines fonctionnalités. Vous trouverez des informations détaillées sur tous les cookies sous chaque catégorie de consentement ci-dessous.

Les cookies qui sont catégorisés comme « nécessaires » sont stockés sur votre navigateur car ils sont essentiels pour permettre les fonctionnalités de base du site. ... 

Toujours actif

Les cookies nécessaires sont cruciaux pour les fonctions de base du site Web et celui-ci ne fonctionnera pas comme prévu sans eux. Ces cookies ne stockent aucune donnée personnellement identifiable.

Aucun cookie à afficher.

Les cookies fonctionnels permettent d'exécuter certaines fonctionnalités telles que le partage du contenu du site Web sur des plateformes de médias sociaux, la collecte de commentaires et d'autres fonctionnalités tierces.

Aucun cookie à afficher.

Les cookies analytiques sont utilisés pour comprendre comment les visiteurs interagissent avec le site Web. Ces cookies aident à fournir des informations sur le nombre de visiteurs, le taux de rebond, la source de trafic, etc.

Les cookies de performance sont utilisés pour comprendre et analyser les indices de performance clés du site Web, ce qui permet de fournir une meilleure expérience utilisateur aux visiteurs.

Aucun cookie à afficher.

Les cookies de publicité sont utilisés pour fournir aux visiteurs des publicités personnalisées basées sur les pages visitées précédemment et analyser l'efficacité de la campagne publicitaire.

Aucun cookie à afficher.

Aller au contenu

Jay Miller avoue et nie

L’envoyé de Robert Parker en Espagne avoue maintenant avoir reçu de l’argent des vignerons.

Mais il dit que ce n’est pas pour goûter leurs vins, mais pour donner une conférence.
Il dit aussi que cela a été fait en son nom et non pour le compte du site web de Robert Parker.
Il admet avoir reçu entre 8000 et 15 000 $ collectés par Pancho Campo.
 
La semaine dernière Robert Parker niait et avouait, aujourd’hui, on dirait que son associé fait le contraire: il avoue et nie.
Entretemps, les deux compères on dit qu’ils ne travaillent plus ensembles.
 
Miller a fait ces révélations au journal The Baltimore Sun. «I know some of my critics are upset I would be making so much money. They don’t think I should be making anything.»
 
Cette affaire Jay Miller a relancé le débat sur l’éthique des critiques de vin. Certains «critiques» recoivent de l’argent de ceux qu’ils critiquent.