Le célèbre flying winemaker français explique sa conception de son métier. Il conseille une centaine de producteurs dans plusieurs pays, mais met au défi quiconque de dire que ces vins goûtent la même chose.
Interrogé par Céline Galipeau au téléjournal de vendredi, Michel Rolland se défend d’avoir uniformisé le goût du vin. Les techniques qu’il utilise sont des outils du monde moderne et permettent de faire de meilleurs vins, affirme-t-il.
Sa technique est très simple. «Je suis un paysan… et il s’agit d’aller dans les vignes y goûter les raisins… de les ramasser en bon état et murs.»
Nous travaillons plus la vigne maintenant avec les vendanges vertes, l’effeuillage… «on a créé toute une gamme de façons de cultiver la vigne qui font qu’on a de meilleurs raisins. Alors quand on a de meilleurs raisins ça devient beaucoup plus facile de faire de meilleurs vins. C’est pour ça que depuis une dizaine d’années, on a moins de mauvais vins.»
«Un bon vin c’est toute harmonie, c’est que du début jusqu’à la fin de la dégustation, il doit y avoir les bons goûts et les bonnes sensations aux bons moments, c’est tout.»
Donc, une entrevue a écouter Michel Rolland interrogé par Céline Galipeau, Téléjournal de Radio-Canada, le vendredi 21 septembre. Vidéo de 11 min 20.