Notre collègue Jean Aubry relance la discussion sur les pastilles de goût qu’utilise la SAQ pour aider les gens à s’y retrouver dans les centaines de produits courants sur les tablettes.
La discussion a démarré à l’émission Christiane Charette du vendredi 12 février.
Jean Aubry fait aussi des recommandations dans son article de ce matin dans le quotidien Le Devoir : Des pastilles qui titillent!
Dans son enquête auprès de consommateurs, il a noté qu’il y a confusion au sujet de la notion de fruité.
Il propose que le nombre de pastilles soit réduit de huit à six «en mettant l’emphase sur les notions qui rassurent tout de suite le consommateur, à savoir l’idée de texture, de volume, de plénitude avec celles liées au corps même du vin.»
En gros, les pastilles c’est un début, ce sont des repères de base, c’est perfectible et ça peut être utile à plusieurs personnes.
Le principe me semble simple : plus la texture du vin est légère, plus la couleur est pâle.
Donc, si vous prévoyez faire un plat léger vous pourriez choisir une pastille pâle.
Je ferai toutefois une remarque ici. La pastille peut avoir été attribuée en fonction de la texture d’un millésime précédent. Il peut y avoir des variations assez grandes d’un millésime à l’autre.
À noter aussi que ces pastilles ne sont apposées que sur les produits courants toujours disponibles et non sur les produits dits de spécialités.
Le vin et les pastilles, Radio-Canada
Pastilles de goût, SAQ
Des pastilles qui titillent! Jean Aubry, Le Devoir, 19 février (disponible aux abonnés seulement cette semaine)