Le vin rosé devient de plus en plus populaire au Québec. Il faut dire que la qualité de ces vins s’est fortement améliorée ces dernières années. Les producteurs les faisaient trop souvent avec leurs raisins de moins bonne qualité. Maintenant, plusieurs vignerons nous proposent des vins fruités bien faits.
À tel point que le rosé est devenu un gros vendeur en France. Sa consommation y a doublé en 20 ans, passant de 10 % à 25 % des ventes. Les Français achètent donc plus de rosés que de blancs. (Le Figaro)
En Espagne, jusqu’à il y a quelques années les rosés étaient médiocres. «La plupart des rosés étaient produits à parti de fruits de la pire qualité, une aberration que l’on essayait de corriger ensuite par diverses techniques (manipulation de l’acidité, sélection des levures à la carte dans le but d’obtenir des arômes artificiels de bananes, de framboises, etc., chaptalisation», et autres techniques de vinification industrielle. La principale préoccupation des producteurs était «d’obtenir une couleur attractive», écrit Federico Oldenburg dans le magazine Spain Gourmet Tour.
Puis, les bodegas espagnoles «commencèrent à étudier les méthodes pour concurrencer les rosés français qui remportaient tant de succès», ajoute-t-il.
Il y a quatre méthodes pour la production du rosé: la macération courte, le pressurage direct, la saignée et le mélange rouge et blanc. Cette dernière est interdite en Europe.
Ce rosé de Marqués de Caceres est obtenu par saignée. Il est très aromatique, fruité et floral.
Gras en bouche, avec des saveurs de fruits jaunes, oui et aussi un peu de banane. C’est chaleureux, sec et bien long.
Gourmand et gouleyant, il se boit à grandes lampées.
Servir froid à 8 °C avec la cuisine méditerranéenne, les barbecues, salades…
Bouchon de plastique au Québec, capsule à vis sur d’autres marchés. Tempranillo à 85 % et garnacha. Alc. 13,5 %.
Disponible en ligne et dans 183 succursales.