Le sujet de l’éthique et de la déontologie a refait surface cette semaine dans la glouglousphère.
Après le scandale de Jay Miller, collaborateur de Robert Parker en Espagne, qui aurait demandé et reçu de l’argent du monde viticole de Navarre et de Jumilia, voici qu’on s’interroge en France sur l’éthique de journalistes qui agissent en homme d’affaires dans le monde du vin.
On parle de mélange des genres, «les frontières parfois ténues entre la presse et le commerce».
Le billet de Michel Smith intitulé «Mon Big Tasting? C’est la folie des grandeurs et le mélange des genres!» sur le blogue Les 5 du vin suscite beaucoup de commentaires, plusieurs très intéressants sur le glissement de rôle de quelques journalistes du vin qui agissent en entrepreneurs, en promoteurs, en homme d’affaires.
Parmi les participants à cette discussion mentionnons les noms de Michel Betanne, Hervé Lalau, David Cobbold, François Mauss, Hervé Bizeul.
Une lecture intéressante. L’article ici ; les commentaires ici