La qualité des rosés s’est généralement améliorée ces deux dernières années. C’était trop souvent des produits qui ne goutaient que l’alcool. Du moins, ceux qu’on avait au Québec. Seuls les vins de Tavel avaient une certaine classe. Maintenant, on fait de beaux rosés un peu partout en France, en Italie et en Espagne.
Ce rosé de Toscane est un bel exemple de ce qui se fait de bien dans le monde du ni blanc, ni rouge. D’ailleurs, il est d’un rosé presque rouge pâle. Il a de jolies saveurs de bonbons à la fraise. L’attaque est fruitée, le vin est ample avec une belle finale sur le fruit et le caramel. C’est chaleureux et étonnamment costaud. Un bouchon qui visse fort pratique capsule le tout. 12,5 %