Le vin semble déjà à maturité. Il dégage des arômes exubérants et évolués. C’est un pauillac profond, riche, de corps moyen. Le boisé est maintenant fondu. Dégusté au château même dans leur magnifique salle de dégustation à l’automne 2006. Servi après le somptueux 2004, il m’a paru un peu léger. Un vin de grande classe tout de même.
Dans ce millésime, il contenait 70 % de cabernet sauvignon. Élevage en barrique neuve pendant 18 mois. Une production moyenne de 200 000 bouteilles sur 47 hectares.
Il est disponible ces jours-ci dans les deux magasins Signatures de la SAQ.