Dégusté avec quelques autres bordeaux du millésime 2006 qui étaient déjà exubérants et charmeurs, ce pauillac n’est pas arrivé dans le peloton de tête. Il est plutôt discret.
Un nez retenu de légumes chauds. Un pauillac plein avec de beaux tanins assez rugueux, mais bien enrobés. Assez bien. Moyennement long. Un bel après-goût.
De style classique. Il n’impressionne pas beaucoup pour le moment. Il faudra attendre et le revoir dans quelques années.
Voir la vidéo avec Jean-Charles et Jean-Michel Cazes à Lynch Bages. (France-chef – 16 min).