Une appellation comme le Bonnezeaux, qu’on retrouve sur la rive gauche du Layon, petit affluent de la Loire. On y retrouve d’excellents moelleux ou liquoreux bénis par la pourriture noble. Mais ce n’était pas le cas de celui-ci. Plutôt floral avec de subtils effluves de poire et de coing. Le vin a paru très léger et unidimensionnel. Question de millésime sans doute.
Quarts-de-Chaume 1998, Pierre Bise – SAQ 47.75
- par Benoit Lavoie