On connaît bien Gourgazaud au Québec, surtout le rouge.
Le blanc, peut-être moins!
Pourtant, année après année, ce vin nous séduit.
Il est très aromatique. Il fait penser à certains vins d’Alsace ou à des Torrontéss d’Argentine. Il a des arômes qui rappellent le muscat.
En bouche, c’est frais minéral, doté d’une belle acidité.
Suave, souple, élégant et consistant.
Une longue finale minérale.
Comment font-ils ces gens de Gourgazaud?
Je l’ai servi à 11 °C sur le patio avec du riz un peu épicé, oh si peu, accompagné d’asperges et autres légumes.
Le producteur suggère de le servir très froid ( 6 °C) avec des sushis, des asperges, du fromage.
Disponible dans plus de 140 succursales.
«Le viognier – Ce cépage était en voie de disparition en France il y a une quinzaine d’années, (seule la région de Condrieu en exploitait une quinzaine d’hectares dont le fameux Château Grillet).Ce cépage est plus difficile à cultiver que le Chardonnay ou le Sauvignon. Si l’on procède à des tailles courtes, on obtient de petits rendements et des vins d’une complexité et d’une concentration aromatique intense. S’y mêlent des notes de fruits délicats (pêche, poire, abricot) ou de fruits exotiques, des notes florales (fleurs blanches), sur lesquelles se superposent les épices et le miel.»